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Monday, February 10, 2014

nzorex, fenbutrazate, fenproponex, mazindol, méfénorex, norpseudoéphédrine, phendimétrazine, phent

s par rapport à des groupes sans thérapie (-4 à -8 kg)196. Les thérapies familiales avec le conjoint ont été légèrement plus efficaces, contrairement aux thérapies de groupe qui ne sont pas plus efficaces que les thérapies individuelles.
Au-delà du traitement comportemental, certains psychanalystes lèvent les causes inconscientes de l’enfermement dans ce symptôme et permettent alors le respect de modes de vie plus propices au respect des préconisations d’alimentation et d’exercice physique. Catherine Grangeard montre que diverses problématiques ne permettent en rien de définir une « personnalité obèse »197.
Médicamenteux[modifier | modifier le code]
Le bilan des thérapies médicamenteuses de l'obésité est peu reluisant : tous les médicaments promus dans les dernières décennies ont été qualifiés de percées majeures mais ont tous déçu en raison, principalement, de leurs effets secondaires198.
Les stimulants centraux comportent de nombreux effets secondaires, parfois graves et sont abandonnés dans la plupart des pays :
Fenfluramine et dexfenfluramine retirées du marché au niveau mondial en 1997.
Amfépramone (diéthylpropion, DEP), clobenzorex, fenbutrazate, fenproponex, mazindol, méfénorex, norpseudoéphédrine, phendimétrazine, phentermine et propylhexédrine : interdits en Belgique depuis octobre 2001.
Phénylpropanolamine (noréphédrine) : interdite en Belgique depuis le 1er octobre 2002.
Amphétamine, Méthamphétamine, très rarement prescrites, habituellement fabriquées et vendues de manière illégale.
Nicotine, psychostimulant modéré, (alcaloïde majeur de la plante Nicotiana tabacum), agissant en faible concentration comme parasympaticomimétique, provoque une libération d'adrénaline par les glandes médullosurrénales via les nerfs splanchniques, cette hormone ayant entre autres pour « cible » les cellules hépatiques (menant a une augmentation de la glycémie, qui peut être corrélée avec une diminution de l'appétit) et les adipocytes, entrainant une libération d'acides gras qui pourront ensuite être catabolisés par les différentes cellules de l'organisme dans le but de produire de l'énergie. Des études menées sur des rats ont montré qu'une administration quotidienne de nicotine pouvait faire décroitre la masse de tissus. adipeux199,200.
NB : Nicotine n'implique pas tabac, les risques de cancer lié à la cigarette dépassent largement les éventuels effets « positifs » induits par la nicotine.
Trois médicaments ont été développés récemment et auraient une certaine efficacité à court terme (perte de 3 à 5 kilos comparé à un placebo sur 6 mois). Ils exposent néanmoins à certains effets secondaires p

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