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Monday, February 10, 2014

visager diverses actions au niveau des aliments ingérés:

ux, musculaire, hépatique et rénal), des modifications profondes du métabolisme énergétique et de la régulation physiologique du comportement alimentaire, ainsi que des perturbations psychologiques (troubles du comportement alimentaire). Ces dernières modifications sont souvent à l'origine du « cercle vicieux » d'une reprise de poids, éventuellement plus sévère, à plus ou moins long terme." Soulignant en particulier que "la reprise de poids concerne 80 % des sujets après un an et augmente avec le temps" et que, sur le plan psychologique, "la dépression et la perte de l’estime de soi sont des conséquences psychologiques fréquentes des échecs à répétition des régimes amaigrissants." Sur le plan somatique, l'agence souligne en particulier que "l’amaigrissement ne se fait pas uniquement aux dépens des réserves de masse adipeuse mais conduit rapidement à l’affaiblissement du sujet par perte de masse maigre, notamment musculaire et osseuse, quel que soit le niveau d’apport protéique" (ce qui veut dire : régimes hyperprotéinés compris) et que "les pratiques des régimes amaigrissants, en particulier lorsqu'elles sont répétées dans le temps, sont délétères pour l’intégrité du capital osseux : ainsi, pour une perte de poids de 10 %, il est observé en moyenne une diminution de un à deux pour cent de la densité minérale osseuse" d'où à long terme, risque d'ostéoporose et de fracture172.
Sans parler de restriction calorique, on peut envisager diverses actions au niveau des aliments ingérés:
supprimer de certaines catégories d'aliments sans aucun intérêt nutritionnel comme les boissons sucrées173 et les boissons alcoolisées.
suivre les recommandations du PNNS de manger au moins 5 fruits et légumes par jour. Certains aliments sont reconnus pour augmenter la satiété, comme les pommes, les légumineuses.
choisir des aliments (hors fruits et légumes) qui augmentent la satiété, diminuent l'appétit et/ou augmentent le métabolisme: café174, piments, cannelle, thé vert175, konjac, guarana.
boire de l'eau avant les repas176
diminuer le niveau de transformation des aliments ingérés (aliments entiers plutôt que des purées ou soupes, riz complet plutôt que riz blanc, etc.)
éviter les aliments à haute densité énergétique177
substituer les acides gras omega 6 par des acides gras omega 3178
réduire les tailles des portions servies, éventuellement augmenter le nombre de repas par jour en diminuant leur importance (cette idée est controversée)
augmenter le petit-déjeuner, réduire le diner179
adopter un régime alimentaire végétarien180,181, si possible pauvre en lipides182 et riches en glucides complexes.
Les phytothérape

nzorex, fenbutrazate, fenproponex, mazindol, méfénorex, norpseudoéphédrine, phendimétrazine, phent

s par rapport à des groupes sans thérapie (-4 à -8 kg)196. Les thérapies familiales avec le conjoint ont été légèrement plus efficaces, contrairement aux thérapies de groupe qui ne sont pas plus efficaces que les thérapies individuelles.
Au-delà du traitement comportemental, certains psychanalystes lèvent les causes inconscientes de l’enfermement dans ce symptôme et permettent alors le respect de modes de vie plus propices au respect des préconisations d’alimentation et d’exercice physique. Catherine Grangeard montre que diverses problématiques ne permettent en rien de définir une « personnalité obèse »197.
Médicamenteux[modifier | modifier le code]
Le bilan des thérapies médicamenteuses de l'obésité est peu reluisant : tous les médicaments promus dans les dernières décennies ont été qualifiés de percées majeures mais ont tous déçu en raison, principalement, de leurs effets secondaires198.
Les stimulants centraux comportent de nombreux effets secondaires, parfois graves et sont abandonnés dans la plupart des pays :
Fenfluramine et dexfenfluramine retirées du marché au niveau mondial en 1997.
Amfépramone (diéthylpropion, DEP), clobenzorex, fenbutrazate, fenproponex, mazindol, méfénorex, norpseudoéphédrine, phendimétrazine, phentermine et propylhexédrine : interdits en Belgique depuis octobre 2001.
Phénylpropanolamine (noréphédrine) : interdite en Belgique depuis le 1er octobre 2002.
Amphétamine, Méthamphétamine, très rarement prescrites, habituellement fabriquées et vendues de manière illégale.
Nicotine, psychostimulant modéré, (alcaloïde majeur de la plante Nicotiana tabacum), agissant en faible concentration comme parasympaticomimétique, provoque une libération d'adrénaline par les glandes médullosurrénales via les nerfs splanchniques, cette hormone ayant entre autres pour « cible » les cellules hépatiques (menant a une augmentation de la glycémie, qui peut être corrélée avec une diminution de l'appétit) et les adipocytes, entrainant une libération d'acides gras qui pourront ensuite être catabolisés par les différentes cellules de l'organisme dans le but de produire de l'énergie. Des études menées sur des rats ont montré qu'une administration quotidienne de nicotine pouvait faire décroitre la masse de tissus. adipeux199,200.
NB : Nicotine n'implique pas tabac, les risques de cancer lié à la cigarette dépassent largement les éventuels effets « positifs » induits par la nicotine.
Trois médicaments ont été développés récemment et auraient une certaine efficacité à court terme (perte de 3 à 5 kilos comparé à un placebo sur 6 mois). Ils exposent néanmoins à certains effets secondaires p

e] L'activité physique, sans restriction calorique

utes conseillent l'utilisation de certaines plantes médicinales ou d'extraits de plantes, en complément d'un régime hypocalorique bien équilibré 183.
des plantes qui couperaient l'appétit (anorexigènes) : hoodia, eucalyptus, laurier sauce, coca, catharanthus, phyllantus niruri, orthosiphon, algues, caroube, konjac
des plantes « brûle graisses », qui augmenteraient la thermogénèse : fucus et algues marines, thé vert, maté, guarana, coleus, garcinia
des plantes sucrantes mais qui n'apportent pas de calories : Stevia ou herbe sucrée du Paraguay, Rubus suavissimus ou ronce sucrée de Chine.
des plantes qui agissent en augmentant l'activité hépatique (plantes dépuratives): pissenlit, artichaut, romarin, chardon marie, curcuma, hercampuri (gentianella)
des plantes calmantes pour diminuer le stress souvent en cause dans l'obésité et permettre de mieux supporter le régime hypocalorique : le millepertuis (Hypericum), le pavot de Californie (Eschscholtzia), la valériane( Valeriana), le tilleul (Tilia)
Activité physique[modifier | modifier le code]
L'activité physique, sans restriction calorique, permet à elle seule d'avoir une baisse modérée du poids. L'association de l'activité physique à un régime est plus efficace que chacun des éléments pris séparément184. Elle n'est pas nécessairement sportive. Il est nécessaire d'encourager l'activité physique régulière. Cette dernière permet le maintien, au long terme, de la perte de poids185.
Mode de vie[modifier | modifier le code]
D'autres actions contre l'obésité, tenant compte de l'échec relatif des régimes amaigrissants, visent à modifier les modes de vie et à rétablir un équilibre entre les apports alimentaires et le métabolisme186. Dans le cadre d'un régime avec restriction calorique raisonnable avec ré-équilibrage187 des repas par diminution des apports au dîner et accroissement des apports au petit-déjeuner, le métabolisme de base qui représente 70% du métabolisme doit être augmenté188,189, parallèlement au métabolisme d'effort correspondant à la pratique d'activités physiques, mais qui ne constitue que 20% environ du métabolisme. On peut aussi agir sur certains aspects du mode de vie190 (sommeil191, sédentarité192, remplacement de temps passé assis par du temps passé debout193, diminution de l'exposition à la publicité194, diminution du temps passé devant la télévision195, etc.)
Thérapie[modifier | modifier le code]
Il a été démontré qu'un soutien actif de type thérapie comportementale améliore l'efficacité des mesures diététique